Rainer Werner Fassbinder, L'année des 13 lunes. Plusieurs séquences très brutales, mais celle de l'abattoir (qui renvoie au documentaire Le sang des bêtes
de Georges Franju) est la plus forte tant le décalage les propos sont
durs, le visuel glaçant et violent et la diction envoûtante.
Arnaud Breton